LES AMIS DE LA BLOIRE RECRUTE


Nous sommes à la recherche de bénévoles (tâches administratives et autres) pour nous aider à organiser nos manifestations (vide-greniers, pique-nique de la Bloire, soirée à Bloire et à manger, etc.). Ces moments se déroulent dans une très bonne ambiance comme vous pouvez le constater sur les photos présentes sur ce site.
Lors de notre vide-greniers, chaque bénévole bénéficie d’un emplacement et d’un repas gratuit.
Si vous êtes intéressés, merci de bien vouloir nous contacter par courriel à l’adresse suivante lesamisdelabloirechallans@gmail.com en nous indiquant vos coordonnées afin de vous rappeler.


La Bloire tire son nom d’un ruisseau, l’Abloire, traversant le village. De nombreuses générations de tuiliers se sont installées à la Bloire, où l’argile, matériau nécessaire à la production, était largement présente.
L’origine de ce village rural le plus peuplé de la commune de Challans est très ancienne. La présence d’un mégalithe nous le rappelle. La « pierre de vinaigre », cette sorte de petit menhir, est une pierre préhistorique contemporaine des pierres alignées de Rairé... On a aussi retrouvé une aigle romaine, étendard datant de la conquête de Jules César.
Mais l’identité de ce village s’est faite dans la prospérité de l’industrie des briques. La plus vieille briqueterie inscrite dans les archives date du XVIIe siècle. Ce village a ainsi toujours été peuplé, il compte aujourd’hui plus de 3 000 habitants.
Mais est-ce toujours un village ? La Bloire semble désormais absorbée par l’urbanisation de la ville de Challans ?...
Mais l’esprit demeure ! Le village compte une association des Amis de la Bloire, ainsi que l’Association de Sauvegarde de la chapelle. Il y demeure une très forte identité, avec de l’entraide et de la convivialité. Quand des nouveaux habitants arrivent, leur intégration est plus Bloire que Challans, malgré le fait qu’il n’y a plus d’école et pas de commerce. (O. Lacarrieux)

VIDE-GRENIERS 2019_150 PLACES

VIDE-GRENIERS - Dimanche 7 juillet 2019
Parc d'Activités de la Bloire, Challans-est (D° La Roche/Yon)
  • 150 exposants
  • 15€ l'emplacement de 6 m linéaires avec possibilité d'y garer son véhicule (1 seul) (accès exposants uniquement : Parc d'Activités de la Bloire, rue Gustave Eiffel : Pas de parking visiteurs par cet accès)
  • Tous les emplacements sont tracés, numérotés et pré-attribués sur sol bitumé
  • Toilettes, buvette et grill
  • Parking visiteurs (accès chemin de la Bardonnière, voir plan d'accès interactif selon votre provenance dans la section "parking visiteurs")
  • Ouvert au public de 9h à 17h

RESTAURATION SUR SITE
  • Grillades, frites, boissons fraîches, café...
  • FORFAIT REPAS (1 grillade + pain + frites + 1 boisson) 6 €

FORMULAIRE DE PRÉ-INSCRIPTION au VIDE-GRENIERS 2019

COMPLÉTEZ LE FORMULAIRE CI-DESSOUS :
Pour participer à notre prochain vide-greniers du 7 juillet 2019, il vous suffit de compléter le formulaire web ci-dessous.

  • Nous vous engageons à prendre connaissance du règlement de cette manifestation ICI.
  • Cliquez sur   et complétez le.
  • Attention, cliquez sur le bouton SUIVANT en bas de page pour accéder aux pages suivantes puis l’ENVOYER.
Envoyez votre chèque de règlement à l’ordre de :
Association des Amis de la Bloire, 7 Chemin des Sources, 85300 CHALLANS
Suite à la validation de ce formulaire, votre inscription sera considérée
comme définitive qu'après réception du paiement des sommes dues.
(Un mail de confirmation vous sera alors envoyé.)

RÈGLEMENT (cliquer pour le consulter ou l’imprimer)
RENSEIGNEMENTS Mme Annie DUC – 07.68.81.12.16

PARKING VISITEURS

L’entrée du parking est accessible par le chemin de la Bardonnière en arrivant de la route de la Roche-sur-Yon (nouveau rond-point).
  • Depuis l'est, le sud-est (La Roche-sur-Yon, Aizenay...)
         ⇒ direction Challans ;
         ⇒ sortir à gauche au 1er rond-point à l’entrée de Challans.
  • Depuis le nord (Nantes, Saint-Nazaire, Pornic, Machecoul, La Garnache...)
  • Depuis le nord-est (Cholet, Montaigu, Legé, Froidfond...)
  • Depuis la côte (Les Sables-d’Olonne, Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Saint-Hilaire-de-Riez, Saint-Jean-de-Monts...)
        ⇒ direction Challans, puis la Roche-Sur-Yon ;
        ⇒ sortir à droite au nouveau rond-point à la sortie de Challans.
  • Depuis le centre de Challans
       ⇒ direction La Roche-sur-Yon ;
       ⇒ prendre la route d’Aizenay longeant le parc d’activités de la Bloire ;
       ⇒ sortir à droite au 1er rond-point.
Consultez notre PLAN D’ACCÈS INTERACTIF
 selon votre provenance (A gauche du plan, cochez votre provenance) .
Seuls les EXPOSANTS accéderont à leur emplacement par la rue Gustave Eiffel. (entrée habituelle de la Z.A.)

PHOTOS VIDE-GRENIERS

NOTRE EQUIPE BAR GRILLADE


L'équipe du bar/grillade avec ces ados...






Les ados au travail

Notre trésorière avec sa petite fille

Le chef saucisses merguez
Notre service à domicile...

LA PARTIE EXPOSANTS


Notre Raymond Polidord























LA PARTIE VISITEURS






 







PRÉSENTATION DE L’ASSOCIATION

  • STATUTS (cliquer pour les afficher)
  • BULLETIN D’ADHÉSION à l’Association Les Amis de la Bloire (cliquer pour l’afficher et l’imprimer)

HISTOIRE des BROCANTES


Histoire des brocantes : une pratique vieille comme le monde !

Old Norwegian decorated furniture. This  outdoor market is open every Saturdayt, and   is located only a few minutes away from from Gustav Vigeland park.

Les brocantes et vide-greniers tels que nous les connaissons aujourd’hui se sont développés en France durant le siècle précédent. Mais on pratique le négoce de vieilleries et de curiosités depuis l’Antiquité. Après tout, rien n’est plus humain que l’attachement au passé !

Les Grecs avaient leurs propres antiquités

Les textes anciens font référence à des sortes de marchés aux puces qui se tenaient sur l’Agora d’Athènes. Des vieilles fripes, des poteries, de la céramique et d’autres curiosités usagées étaient vendues sur des étals à la sauvette. Les Egyptiens auraient également été des collectionneurs et des apprentis brocanteurs dixit Hérodote. Pour leur part, les Romains inventent la salle des enchères sous le regard désabusé des grands philosophes tel Cicéron et Sénèque. La lampe de terre du célèbre Epictète est même vendue 3 000 drachmes par de lointains ancêtres des antiquaires actuels !

On colportait pas mal au Moyen Age

Au Moyen Age, on n’hésite pas à vendre ses biens les plus précieux et jusqu’à ses chausses trouées pour s’en aller faire les croisades ou partir en pèlerinage. Camelots, ferrailleurs, colporteurs et marchands ambulants font un business lucratif de la récupération. Le marché de l’occasion se développe et le malheur des uns fait la bonne fortune des autres. Des foires apparaissent, les quais se couvrent d’étals et des corporations se forment.

Louis XIV met de l’ordre dans tout ce bric-à-brac

Face au développement de ce marché parallèle, Louis XIV décide de contrôler davantage les pratiques du commerce. Par ordonnance royale, les marchands d’occasion doivent consigner l’origine de la marchandise ainsi que son prix de vente. A partir du XVIIIe siècle, les collectionneurs se font plus nombreux et on recherche désormais des objets rares et précieux. Les brocanteurs experts concurrencent les « crieuses de vieux chapeaux ». Ils se spécialisent dans le domaine de l’art ou des antiquités. Pour enrayer le commerce d’objets volés, on rechigne à acheter aux domestiques et on enregistre l’état civil des vendeurs pour ne pas être poursuivi en justice.
On vend les meubles à la Révolution
Les biens saisis à la noblesse et à l’Eglise deviennent des biens nationaux. On les revend publiquement pour renflouer les caisses de l’Etat. Les ventes aux enchères se démocratisent et il n’est plus nécessaire d’être aristocrate pour se croire collectionneur. Pendant l’Empire, la mode est aux antiquités grecques, romaines et égyptiennes.
Les Puces apparaissent à Paris au désespoir des bonnes gens
Au début du XXe siècle, les premières Puces parisiennes se tenaient en périphérie, porte de Clignancourt, sur un simple terrain vague. On y vendait sous le manteau des rebuts et de la vieille literie infestée de parasites. Après la Grande Guerre, le marché se diversifie si bien qu’on sédentarise les Puces et qu’on fixe la vente au samedi et dimanche exclusivement.
Tout le monde vide son grenier
Il faut attendre les années 70 pour que la vente d’objets particuliers se démocratise. Les familles naguère attachées à leur patrimoine se débarrassent en masse des assiettes de grand-mère et des vieux meubles. Le marché de l’occasion n’est plus réservé aux populations pauvres et exclues. A contre-courant de la société de consommation, les Français privilégient la récupération et le recyclage pour lutter contre le gaspillage. La braderie de Lille, où les domestiques vendaient autrefois les vieilles nippes de leurs riches employeurs, est aujourd’hui l’un des plus grands événements de France !